Eau : la consommation française comparée au monde francophone

eau-gaspillage

Préserver les ressources naturelles vitales est devenu une obligation, plus qu’une rêverie écologique. L’eau se raréfie sur rythme soutenu, soulevant les préoccupations jusque chez les personnes aisément installés. Chaque citoyen doit faire un effort mais compte-tenu des besoins variés actuels, certains vont en redoubler à l’issu de cette comparaison.

L’exemple malgache

Selon les chiffres transmis par une entreprise possédant le monopole sur la distribution d’eau dans la Grande-Île de l’océan indien, un adulte a besoin de 50 litres d’eau par jour. Toujours selon cette étude, 40 litres sont consacrés à l’hygiène incluant douche et lavement des mains. Admettons qu’une partie minoritaire de la population a accès à l’eau potable, on peut conclure sur le fait que les pays en voie de développement tels Madagascar consomment beaucoup moins que les pays développés. Dans les pays dominés par le désert, l’eau potable est quasi-inexistante. En somme, il serait injuste voire irréaliste d’imposer une restriction de 50 kwh/m2 /an dans ces zones. Tout ceci, les organismes en charge de la mise en œuvre des projets de restriction écologique en sont conscients, reste à faire passer le message auprès de la population qui, elle aussi, connaît son lot de soucis quotidiens, plombier Neuilly-sur-Marne peut en témoigner

Et en France ?

En France, 110 à 137 litres d’eau suffisent à un particulier habitant en région parisienne. Cette quantité est utilisée essentiellement pour la douche. Il s’agit des besoins quotidiens pour un adulte. Ces chiffres proviennent de la consommation moyenne des français et ils prennent en compte les fuites, abus et autres formes de gaspillage. De ce fait, il devient évident qu’avec une chasse aux fuites mieux organisée, on réduirait la quantité d’efforts à fournir. Pas besoin de s’aligner contre les habitants des pays défavorisés souffrant de désertification, un petit effort serait le bienvenu et ferait beaucoup d’envieux. Avant de promulguer lois régissant les objectifs de la consommation idéale, il faudrait prioriser des textes explicatifs des bonnes méthodes pour améliorer la consommation des citoyens.  Car dans un souci d’équilibrage des échanges, les efforts risquent d’être déséquilibrés, aussi, tout et tout le monde doit se tenir prêt, les organes législatifs compris.